Grant Thornton publie sa nouvelle étude intitulée « L'externalisation, au-delà des compétences techniques ».
Grant Thornton, groupe leader d'audit et de conseil en France et dans le monde, publie son étude intitulée « L'externalisation, au-delà des compétences techniques », qui met en lumière les tendances liées à l'externalisation pour les entreprises, au moment où cela est devenu une pratique assez courante pour ces dernières, tant en France qu'à l'étranger.
Les avantages de l'externalisation, les différentes attentes des dirigeants en ce qui concerne les relations qu'ils établissent avec leurs prestataires et les raisons pour lesquelles ils réintègrent des processus qu'ils avaient choisi d'externaliser, sont les sujets notamment mis en exergue au sein de ce rapport.
Les données de l'étude sont issues d'une enquête réalisée auprès de 2 571 chefs d'entreprise, exerçant au sein de 36 secteurs d'activités différents à travers 45 pays.
Deux dirigeants sur cinq ont recours à l'externalisation dans le monde afin de réduire leurs coûts, améliorer leur efficacité, mais aussi garantir la conformité du service rendu.
L'Externalisation représente donc aujourd'hui un axe stratégique de la politique d'optimisation et d'amélioration des performances des entreprises.
La paie et les ressources humaines sont les deux postes les plus couramment externalisés car ils nécessitent un grand nombre d'opérations (34 % des dirigeants les externalisent actuellement ou prévoient de le faire dans un proche avenir). Une plus faible proportion des entreprises interrogées (27 %) externalisent ou prévoient d'externaliser leurs fonctions financières et comptables.
Elles craignent généralement de confier le contrôle de leur reporting interne et du traitement de leurs données financières, a priori confidentielles, à des ressources externes.
L'étude révèle également que les facteurs de sélection d'un fournisseur tendent à évoluer. Outre les raisons « classiques » liées aux coûts et au niveau de service, les dirigeants prêtent aujourd'hui plus d'attention aux facteurs « immatériels » tels que la fiabilité, la relation de confiance établie et l'innovation dont pourra faire preuve le prestataire choisi.
La communication bilatérale est également l'une des composantes essentielles d'une externalisation réussie, les chefs d'entreprise souhaitant rencontrer plus régulièrement leurs sous-traitants.
Les fournisseurs de services d'externalisation l'ont bien compris et tous investissent à présent dans ces « outils et domaines immatériels », afin de pérenniser leur relation client dans un contexte, nous le savons, de plus en plus concurrentiel. Ils doivent également être encore plus réactifs et pouvoir répondre en moins de 24h à n'importe quelle demande de leurs clients.
Enfin, le rapport met en évidence les motifs qui poussent les entreprises à « faire machine arrière » et à rapatrier leurs processus externalisés.
La qualité de service représente le premier critère cité par les dirigeants interviewés, et pour ce qui concerne les autres, le process mis en place a toujours eu un caractère temporaire.
François Pons, Associé Conseil Opérationnel & Outsourcing et Global Leader of Business Process Solutions de Grant Thornton International Ltd, commente à ce sujet : « L'engagement de Grant Thornton à délivrer des services externalisés de qualité dans plus de 140 pays à travers le monde, pour les fonctions Comptables et Financières, Paie et RH, est un message fort que nous adressons aux marchés concernés. Notre couverture globale, doublée d'une proximité locale, nous permettent de nous adapter au plus près des demandes des entreprises que nous accompagnons pour qui la dimension qualitative de notre offre de service est un atout essentiel de différenciation ».