La crise financière semble avoir laissé peu de traces dans les comptes annuels des sociétés cotées qui ne sont que quelques unes à avoir constaté des pertes de valeurs après la mise en œuvre des tests de dépréciations imposés par les normes IFRS. Il s’agit notamment d’Accor, de Carrefour, de France Telecom et de PPR. Selon Jean-Florent Rérolle, managing director chez Houlihan Lokey, les travaux d’évaluation sont souvent « incomplets et mécaniques », car ils portent essentiellement sur des analyses de sensibilité de variables (taux d’actualisation, taux de croissance à l’infini) au détriment d’indicateurs qui peuvent avoir plus d’impact sur la valeur actualisée tel que le niveau des prix de vente sur les premières années du plan d’affaires.© 2014 BiblioVigie - Un service de (...)